Alors que le mois de mai est attendu par tous comme celui du déconfinement, espérons que les mauvaises nouvelles qui nous arrivent du Brésil et d’Inde ne soient pas annonciatrices d’un avenir plus sombre encore que jamais. Ces deux variants qui se sont adaptés aux températures clémentes de ces deux pays, touchent des populations plus jeunes et sont virulents. Ma crainte venant d’un relâchement de la vigilance de chacun en cette période estivale qui s’ouvre à nous, conjuguée aux réticences toujours fortes à la vaccination relayées par de funestes démagos et complotistes.
Rappelez-vous lorsqu’en début d’année je vous disais que c’était 14 milliards de doses qu’il nous fallait et non pas les quelques millions nécessaires à notre seule population. Comme l’écrit le Pape François dans son encyclique « fratelli tutti » «On ne peut construire à côté des ruines de son voisin ». Aussi, gardons à l’esprit que la persistance de ces drames chez nos voisins (un fleuve nous sépare du Brésil) ne peut nous laisser insensibles et inactifs sous peine de perdre notre humanisme.
Dès lors, les combats que nous menons en interne contre l’épidémie, contre l’impact économique et social, contre la dégradation psychologique et sociétale, doivent être regardés sous un angle global, éloigné des contingences mesquines qui font l’audimat de ceux qui ne font rien mais critiquent absolument tout.
Le Président de la République Emmanuel Macron, le Premier ministre Jean Castex, son gouvernement et les députés de la majorité à laquelle j’appartiens ne ménageons pas nos efforts pendant cette crise afin d’en atténuer les effets.
Sur le terrain ou tard en hémicycle nous travaillons sans relâche ni répit à amoindrir les conséquences de l’épidémie. Ce résumé en quelques images et quelques clics est là pour en témoigner comme je le fais consciencieusement depuis le début du mandat que vous nous avez confié.
Je vous souhaite une bonne lecture de ce 165ème numéro de mon Journal de Marche et de rester en bonne santé vos proches et vous.