Philippe Michel-Kleisbauer

Journal de Marche n°122– du 8 au 14 février 2020

Journal de Marche n°122– du 8 au 14 février 2020

Observez bien. Plus les résultats commencent à tomber, plus nos opposants organisent le vacarme afin de détourner l’attention de l’opinion. Plus nous travaillons et corrigeons nos trajectoires en fonction des informations que nous récoltons sur le terrain plus ils essaient de faire passer la majorité pour des amateurs. Plus nous sacrifions de temps à étudier les textes et plus ils organisent l’obstruction.

Cette semaine encore les chiffres du chômage démontrent que nous avons raison de poursuivre notre transformation du pays, notre rupture avec les vieilles habitudes des partis politiques historiques, qui alternance après alternance n’ont rien fait si ce n’est nous laisser une situation désastreuse.

Pendant qu’ils courent de médias en médias crient au scandal ou diffusent des fakes news nous poursuivons notre chantier.

Ce fameux chômage qui ronge tous ceux qui en sont victimes. Toutes les réformes économiques que nous avons voté depuis le début du mandat n’ont pour seul objectif que de fluidifier et rendre plus facile la libre entreprise et l’accès aux marchés dynamiques. Grâce à cela les entreprises embauchent alors même que la croissance n’est pas au rendez-vous. Cela ne s’explique que par le fait que les entrepreneurs ont foi en l’avenir, foi en notre politique, en nos réformes. Du coup ils embauchent pendant que d’autres créent leur propre affaire. Ainsi mois après mois le fléau qui a frappé notre pays sur deux générations au moins commence à reculer. Continuons.

Continuons et anticipons sur les autres problèmes à venir comme les épidémies. L’épisode du coronavirus que nous vivons depuis un mois et demi doit nous amener à nous pencher sur tous ceux qui dans l’ombre et loin du tintamarre des démagogues oeuvrent silencieusement.

Ainsi à partir de cette semaine je vous invite à suivre les travaux de la commission d’enquête parlementaire chargée d’évaluer les recherches, la prévention et les politiques publiques à mener pour lutter contre la propagation des moustiques Aedes et des maladies vectorielles.

Cette commission d’enquête parlementaire réclamée par l’élue socialiste Ericka Bareigts, à bien failli ne pas être programmée et, je suis fier d’y avoir contribué à deux voix près, fidèle à ma liberté de vote.